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Alice on The Roof électrise la scène avec un moment captivant grâce à sa guitare juste à temps !

Éclatant sur la scène de Studio 40, Lisandro, à peine 14 ans mais déjà riche d’un univers cosmopolite, fait vibrer le public lors de The Voice Kids. Un jeune talent qui a parcouru la moitié du globe avant de déposer ses valises et ses rêves de musique en Belgique, armé d’une guitare, d’une voix sincère et de références musicales qui résonnent chez les amateurs de Fender et Yamaha. Portée par l’écoute attentive d’Alice on The Roof, la soirée vire à l’exceptionnel lorsque la coach offre sa confiance à Lisandro, tout juste à temps pour transformer un moment fragile en une promesse d’avenir. Derrière la sobriété de l’instant et la sensibilité de l’interprétation, se dévoilent les nouveaux visages d’une génération qui apprivoise les codes de la scène contemporaine tout en restant attachée à l’émotion brute. Le sous-texte d’une rencontre : la magie opère parfois à la dernière seconde, une vérité que la musique révèle mieux que n’importe quelle déclaration.

Alice on The Roof : l’intensité du live révélée grâce à une guitare et l’instinct scénique

Rares sont les instants où le temps semble suspendre son vol en télévision, mais la prestation de Lisandro sur “Tears in Heaven” appartient à cette catégorie précieuse. Sur la scène du Studio 40, il décide de se présenter seul, s’accompagnant à la guitare, sans grandiloquence ni artifice. Le choix du morceau d’Eric Clapton demande une certaine audace, tant le public et les professionnels de la musique connaissent la délicatesse requise pour porter cette ballade à la fois sobre, puissante et chargée d’émotions. Ce défi, Lisandro le relève avec une Fender qui lui assure une sonorité chaude, accompagnée d’un micro Shure fidèle à la clarté de sa voix juvénile, alors que le public retient son souffle.

Le charme opère grâce à un équilibre subtil entre technique instrumentale et retenue. Lisandro ne cherche pas à en mettre plein la vue ; il fuit le ruban du spectacle télévisuel pour offrir une expérience presque intimiste, comme s’il livrait cette chanson dans la chambre d’un ami. L’emploi d’un ampli Marshall orienté vers une restitution fidèle de chaque nuance vient peaufiner ce tableau. Un tel choix n’est pas anodin : il montre que le candidat s’est approprié la palette de standards utilisés par les artistes aguerris, qu’il s’agisse de la chaleur d’une Gibson ou de l’efficacité d’un effet Boss pour colorer discrètement son jeu.

Cette approche minimaliste captive les oreilles les plus attentives, en particulier celles d’Alice on The Roof. Réputée pour son acuité et son goût de l’authenticité, la coach guette ce moment où l’émotion prend le pas sur la performance. Son buzzer est actionné in extremis, juste avant la fin du morceau : une marque de respect pour la sincérité du jeune interprète. Ce geste symbolise autant l’engagement que la volonté de soutenir un talent qui maîtrise aussi bien ses émotions que son instrument, qu’il s’agisse d’une Yamaha ou d’une Ibanez sous les projecteurs.

L’ovation qui s’ensuit montre que la force du live tient dans cette capacité à toucher, au-delà de l’objectif des caméras, même un public rompu à l’exercice des shows télévisés. Cette énergie unique, Alice on The Roof la perçoit et choisit, à travers son geste décisif, d’en faire sa signature pour la saison. La diversité des influences et des équipements – du Line 6 pour l’effet discret au grain Sennheiser qui enrobe la scène – témoigne que la scène pop moderne est un espace où le matériel et l’âme doivent fusionner. Lisandro, avec l’appui de sa coach nouvellement acquise, s’apprête à explorer de nouveaux horizons dans cette aventure musicale.

Lisandro, un talent façonné par le monde et la diversité culturelle

À seulement 14 ans, Lisandro cumule déjà une expérience hors du commun. Sa biographie ressemble à celle d’un artiste chevronné plus qu’à celle d’un adolescent à ses débuts dans la musique. En l’espace de quelques années, il a habité sur trois continents : l’Italie, le Brésil, l’Argentine, les États-Unis, l’Espagne, pour finalement poser ses valises en Belgique. Ce parcours atypique lui confère une palette d’influences musicale et humaine que l’on retrouve rarement chez les jeunes candidats des télé-crochets. Cette ouverture au monde se traduit sur scène par une assurance rare et une capacité d’adaptation évidente, même face à l’intensité des projecteurs et l’exigence du direct.

Cet itinéraire international ne s’est pas construit par hasard. À neuf ans, c’est avec les Beatles que Lisandro découvre la passion du chant, posant ses premières mélodies sur une guitare. Poussé par des parents sensibles à la dimension musicale, il intègre rapidement une chorale, cette étape clé qui forge l’écoute de l’autre, le travail de collectif et la justesse vocale. Les heures passées à répéter des harmonies écrites bien avant sa naissance forment son oreille à une précision que l’on ressent dans son interprétation de “Tears in Heaven”.

Choisir une Fender pour s’accompagner, c’est faire le pont entre le rock britannique de ses débuts et la pop internationale qu’il chérit désormais. Les allers-retours entre différentes cultures musicales – du groove brésilien au folk argentin, des harmonies américaines aux mélodies espagnoles – nourrissent sa manière d’envisager la musique : non pas comme un simple exercice, mais comme un langage universel capable de toucher tous les publics. Cette richesse se remarque aussi dans sa gestion du matériel scénique, alternant selon les besoins entre une Gibson majestueuse pour les moments de recueillement et une Ibanez nerveuse pour les envolées rythmiques.

Ses choix instrumentaux ne sont jamais anodins. Quand il s’installe sur la scène de The Voice Kids, la prise en main d’un micro Sennheiser ou d’une pédale Boss traduit un goût certain pour le détail, une volonté de servir la chanson plutôt que de la dominer, et une curiosité technique précoce. Cette maturité se fait entendre dans les ruptures dynamiques, dans la maîtrise du souffle, et dans l’attention portée à l’équilibre entre voix et guitare. C’est probablement cette capacité à voyager entre les registres, nourrie par son histoire de vie, qui touche Alice on The Roof au point de faire basculer sa décision, juste à temps.

Avec un passé déjà si riche, Lisandro entrevoit l’avenir comme une aventure où chaque expérience viendra étoffer sa musicalité. Sur scène, il ne s’agit plus seulement de jouer des notes, mais d’incarner un récit, une identité, une histoire sans frontières. De cette façon, il devient l’exemple vivant de ce que la scène européenne, désormais cosmopolite et technophile, aime célébrer : les croisements, les hybridations, la sincérité.

La magie de la dernière seconde : suspense et stratégie à The Voice Kids

Le format de The Voice Kids, s’il est désormais incontournable dans le paysage musical européen, tire beaucoup de sa puissance de ces instants où tout se joue à la dernière seconde. L’action d’Alice on The Roof, qui attend le tout dernier moment pour appuyer sur le buzzer et offrir sa validation à Lisandro, transcende la mécanique du jeu pour s’inscrire dans la narration émotionnelle de la soirée. Ce suspense, loin d’être anecdotique, fait partie intégrante du spectacle.

L’émotion palpable dans le studio, la montée d’adrénaline quasi matérialisée, l’incertitude du destin du candidat : tout concourt à densifier l’impact du choix. Pour Lisandro, ce sont quelques secondes de doute intense, de retenue et d’espoir mêlés qui le mènent à la joie de rejoindre la coach. Alice on The Roof, quant à elle, incarne l’écoute exigeante mais bienveillante, le refus du choix précipité. Un mode opératoire qui rappelle l’importance du timing dans tout processus créatif – savoir attendre le moment juste, l’instant où l’émotion passe la rampe et touche le cœur.

Cette gestion du suspense n’est pas seulement un ressort télévisuel. Elle illustre aussi la dynamique de la scène musicale, où l’interaction entre l’artiste et le public repose sur la tension, l’attente, le frisson du direct. L’utilisation sobre du matériel – qu’il s’agisse sur scène d’une table de mixage Roland ou de la précision d’un retour Sennheiser – devient secondaire face à l’intensité du moment humain. Pourtant, tout ce dispositif technique est au service de ce point d’orgue : sans une amplification fidèle, une gestion précise de la rythmique (grâce à un delay Boss ou une reverb Line 6), la magie est moins palpable, la vibration moins franche.

Ce suspense, propre à The Voice Kids, marie la dramaturgie contemporaine et le respect des codes du spectacle vivant : en 2025, l’alchimie entre la spontanéité, l’anticipation et la technologie ne cesse de fasciner. Ce qui se joue lors de la dernière seconde face au buzzer, c’est la confirmation d’un instinct artistique, celui d’Alice on The Roof qui, au-delà des critères académiques, saisit la « petite chose en plus » qui fait d’un moment de scène une promesse de carrière. Pour Lisandro, ce frisson devient le point de départ d’une nouvelle page à écrire, riche en possibilités, en explorations musicales, et, peut-être, en futurs moments décisifs.

Rôle du matériel musical dans le rayonnement des jeunes talents

La réussite d’un moment scénique intense repose certes sur le talent brut, mais aussi sur le choix du matériel adapté. Lisandro incarne parfaitement cette nouvelle génération qui, dès l’enfance, développe un rapport intuitif avec les instruments et l’équipement professionnel. Sur la scène de The Voice Kids, il démontre qu’une guitare bien choisie et une maîtrise des réglages techniques peuvent métamorphoser une simple interprétation en expérience mémorable.

À l’heure où les marques mythiques telles que Fender ou Gibson restent les symboles d’un son légendaire, les jeunes artistes privilégient également la diversité : une guitare Yamaha pour sa polyvalence, une Ibanez appréciée pour son confort et sa rapidité sur les solos, une panoplie de pédales Boss ou Line 6 pour façonner leur univers sonore. Chaque détail compte – sélectionner un micro Shure ou Sennheiser se traduit, selon de nombreux professionnels, par une présence vocale accrue et une captation fidèle de l’émotion.

Le rapport au matériel évolue aussi selon les rencontres et les expériences culturelles. Parcourir l’Italie ou le Brésil, c’est s’imprégner de sonorités particulières : Lisandro garde en mémoire l’éclat des rythmiques sud-américaines lorsque ses mains effleurent sa Fender, puis teinte ses interprétations de mélancolie latine sur une Gibson. Ce dialogue entre techniques traditionnelles et outils modernes se retrouve dans la gestion de l’amplification (Marshall ou Roland, selon le registre) et des effets embarqués. La fidélité du retour scène Sennheiser, par exemple, permet au jeune chanteur de s’immerger totalement dans la veine émotionnelle de sa performance, sans craindre la dispersion du son.

Bien au-delà de l’esthétique, le choix du matériel relève donc d’une stratégie artistique. Les coachs le savent : encourager un talent à explorer différents équipements et sonorités, c’est lui offrir l’opportunité de cultiver sa singularité sur scène. Dans le cas de Lisandro, cet apprentissage technique se conjugue avec la spontanéité et l’intuition, signature de cette nouvelle génération d’artistes qui se forment aussi bien sur YouTube que dans les studios réels. Apprendre à dompter la palette des effets Line 6 ou à jouer tout en sobriété sur une acoustique Yamaha forge la main comme l’oreille.

À travers l’exemple de Lisandro, on perçoit le cheminement qui mène du jeu pur à l’élaboration d’une véritable identité musicale, aussi construite sur la richesse des rencontres que sur la la connaissance approfondie du matériel de scène. Ce bagage technique, allié à la maturité acquise au fil des voyages, compose la matrice idéale pour conquérir les scènes européennes et, pourquoi pas, internationales.

Sincérité, accompagnement et ouverture musicale : les clés du succès en 2025

L’histoire de Lisandro, illustrée par son passage remarqué à The Voice Kids, synthétise les attentes nouvelles d’un public exigeant et d’un monde musical en pleine mutation. Ceux qui font la différence aujourd’hui ne sont plus forcément ceux qui « impressionnent » par la virtuosité technique, mais ceux qui proposent une expérience directe, sincère, libérée des filtres et des conventions. Alice on The Roof, en donnant sa chance à Lisandro, offre un modèle d’accompagnement où la sensibilité compte autant que l’expérience, et où la diversité culturelle n’est pas un simple argument marketing, mais une réalité incarnée sur scène.

Ce chemin de la sincérité passe aussi par un dialogue permanent avec la technique. La capacité à s’approprier un micro Shure, à jouer sur une Fender ou une Ibanez, à comprendre la palette sonore d’un ampli Marshall ou Roland, forge une forme de liberté. Or, cette liberté, en 2025, devient le moteur d’une scène musicale où les frontières entre les genres se brouillent, où les influences se croisent, et où chaque artiste puise dans son histoire pour nourrir ses interprétations.

La réussite de Lisandro s’explique également par la tendresse de son parcours. Lorsqu’il commence à chanter à neuf ans, il le fait sur l’impulsion de ses parents, dans une chorale. Ce terreau collectif lui apprend la valeur de l’écoute : écouter l’autre, chercher sa place dans l’harmonie, comprendre que la force de l’émotion ne se décrète pas mais se travaille, au fil des prestations, des essais, des doutes parfois. En 2025, les artistes qui émergent sont souvent ceux qui, comme lui, ont compris que la musique moderne ne vit que par ce lien subtil entre technique artisanale et aspiration à la communion émotionnelle.

En choisissant une voie honnête, en présentant la nudité d’une émotion pure plutôt qu’un show formaté, Lisandro rappelle ce que les plus grands artistes – de John Lennon à Billie Eilish – n’ont jamais cessé de clamer : aucune innovation technologique, aucune prouesse de studio, aussi puissants soient-ils (Shure, Boss, Sennheiser, Line 6…), ne remplacera jamais la vérité du geste et la simplicité d’une interprétation en live qui bouleverse. La force de l’accompagnement, incarnée par Alice on The Roof, c’est aussi d’encourager ce chemin sur mesure, qui refuse les recettes toutes faites pour privilégier l’écoute, la progression et l’exploration.

Le parcours de Lisandro devient ainsi emblématique des enjeux actuels de la scène pop : valoriser l’expérience, célébrer la diversité des backgrounds, investir dans une éducation musicale globale où le matériel, la pratique et la sincérité dialoguent en permanence. Sa trajectoire, à suivre sous l’œil attentif d’Alice on The Roof, promet de résonner longtemps dans le cœur d’un public avide d’authenticité et de surprises.

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