L’industrie du bâtiment est à l’aube d’une transformation majeure, portée par une prise de conscience environnementale grandissante et un besoin criant de solutions durables. Derbigum, leader reconnu dans le domaine du revêtement de toitures, propulse aujourd’hui le secteur vers un futur où la circularité devient la norme. La fin de l’ère des matériaux vierges s’annonce, renversant les modèles habituels de construction pour ouvrir la voie aux membranes de toiture complètement recyclées. Grâce à des innovations telles que Novitumen, Derbigum concrétise une avancée technologique pionnière en Europe et inspire tout un écosystème de partenaires soucieux de conjuguer performance technique, responsabilité écologique et économie circulaire. Un nouvel élan créatif donne naissance à des toits durables qui protègent autant les constructions que l’environnement, redéfinissant le sens même du mot « recyclage » dans la construction urbaine.
Membranes de toiture 100% recyclées : la révolution Derbigum Novitumen
Le lancement de Novitumen par Derbigum marque une rupture inédite dans le secteur de la toiture bitumineuse. Cette membrane nouvelle génération est conçue uniquement à partir de bitume recyclé, excluant totalement l’utilisation de bitume vierge. Concrètement, des déchets autrefois destinés à l’enfouissement — telles que des chutes de production ou d’anciennes membranes usagées — sont revalorisés grâce à un procédé breveté qui leur confère une seconde vie. Sur l’un des premiers chantiers, une ancienne école a vu sa toiture transformée avec Novitumen, illustrant concrètement comment une démarche circulaire favorise l’éco-responsabilité tout en assurant une imperméabilisation de haut niveau.
Ce procédé unique permet d’économiser des ressources fossiles et d’alléger l’empreinte carbone de chaque projet de construction. Au-delà de son aspect technique, Novitumen sert aussi de vitrine à une nouvelle philosophie chez les architectes et entrepreneurs : ne plus considérer les déchets de la toiture comme une fatalité, mais comme un gisement renouvelable qui enrichit la chaîne de valeur. Derrière cette innovation, il y a des années de recherche menées par des experts animés d’une volonté commune de faire évoluer les pratiques du secteur. À travers ce pari technologique, Derbigum stimule aussi le tissu local : entreprises de recyclage, applicateurs spécialisés, laboratoires indépendants collaborent de plus en plus étroitement pour optimiser chaque étape, de la collecte au réemploi du bitume.
Le défi ne se limite pas à produire une membrane circulaire. Il s’agit aussi de garantir la performance au fil du temps. Les retours d’expérience sur les premiers bâtiments équipés montrent que Novitumen rivalise sans peine avec les membranes traditionnelles en matière de durabilité et de résistance aux intempéries. Pour convaincre les derniers sceptiques, Derbigum mise sur la transparence des processus et une communication directe avec les maîtres d’ouvrage, expliquant les étapes, les garanties et le potentiel de chaque projet circulaire. Une nouvelle ère s’ouvre ainsi pour le roofing, où chaque toiture devient elle-même source de matériaux à recycler.
De la théorie à l’action : un changement de paradigme dans la construction
Le cas de la rénovation d’immeubles publics ou industriels, longtemps considérés difficiles à valoriser, prend un nouveau sens avec Novitumen. Les maîtres d’ouvrage, confrontés à des obligations réglementaires de plus en plus strictes en matière de gestion des déchets de chantier, trouvent dans la solution Derbigum une réponse crédible et certifiée aux nouveaux référentiels environnementaux européens. Le succès de Novitumen atteste qu’il est possible d’allier ambition écologique et exigences de la haute construction, en s’appuyant sur l’expertise d’acteurs techniques engagés.
L’économie circulaire appliquée au roofing : promesse de durabilité et d’éco-responsabilité
Depuis plusieurs décennies, Derbigum s’impose comme une référence sur le terrain de l’économie circulaire. Bien avant que l’expression ne devienne un mot d’ordre politique ou marketing, l’entreprise belge avait déjà investi dans des techniques réutilisant les rebuts de chantier et les déchets de découpe issus de la production. En 2025, la démarche s’est institutionnalisée : tout projet de toiture neuf ou en rénovation bénéficie de filières structurées pour la collecte et le traitement des anciens matériaux.
L’adoption du modèle circulaire répond à une exigence croissante des acteurs publics et privés, qui intègrent désormais des critères d’analyse du cycle de vie (ACV) dans leurs appels d’offres. Derbigum a anticipé cette mutation en développant des outils d’évaluation transparents, permettant aux prescripteurs comme aux utilisateurs finaux de mesurer l’impact positif du recyclage sur les projets de construction. Cela se traduit par des rapports clairs sur la réduction des émissions de CO₂, l’économie de matières premières et la diminution de la quantité de déchets ultimes, digne des meilleures pratiques européennes en la matière.
Mais la circularité chez Derbigum, ce n’est pas seulement une question de récupération : c’est aussi la garantie que le nouveau produit, une fois arrivé en fin de vie, redeviendra à son tour matière première pour les générations futures. Le cercle vertueux se referme, rendant chaque toiture installée aujourd’hui potentiellement recyclable à l’infini. Cette approche globale oblige chaque intervenant du secteur — maître d’œuvre, applicateur, collecteur — à repenser ses méthodes et à coopérer autour d’objectifs durables. Le slogan « ancienne toiture, nouveau matériau » prend ici tout son sens et mobilise tout un écosystème industriel encore trop souvent cloisonné.
Engager les partenaires : l’exemple des applicateurs et bureaux d’étude
L’innovation circulaire n’aurait pas l’impact escompté sans l’engagement concret des applicateurs spécialisés. Ces professionnels se forment désormais sur les spécificités du recyclage du bitume, adoptent de nouveaux gestes sur les chantiers et participent activement au retour du matériau dans les filières adéquates. De leur côté, les bureaux d’étude développent de nouvelles méthodologies pour intégrer ces paramètres dans la conception architecturale, sécurisant ainsi la chaîne de valeur sur le long terme. L’expérience de Léo, chef de projet dans une entreprise de couverture à Lyon, illustre ce changement de culture : « Nous collectons nous-mêmes les chutes, les centralisons dans des sacs spécifiques et organisons chaque mois une tournée de récupération avec Derbigum. Résultat : moins de gaspillage, plus d’économie et des clients de plus en plus sensibles au geste durable. »
Innovation, technologie et performance : les piliers de la toiture circulaire Derbigum
Au cœur du modèle Derbigum, l’innovation n’est jamais dissociée de la performance. Le défi n’était pas seulement de trouver une méthode de recyclage fiable, mais aussi de garantir que le nouveau revêtement de toiture conserve toutes ses qualités structurelles. Cela a nécessité des années de recherche et le développement d’un procédé industriel unique : le bitume recyclé, appelé Derbitumen, est purifié, contrôlé, puis transformé en une membrane aussi performante qu’un produit neuf.
Des tests indépendants, réalisés dans différents laboratoires européens, ont validé la résistance aux UV, l’étanchéité à long terme et la conformité aux normes en vigueur. L’usage de Novitumen s’étend désormais à plusieurs typologies de toits, qu’il s’agisse de logements collectifs, de bâtiments tertiaires ou encore d’équipements sportifs. Les retours du terrain confirment la robustesse de cette membrane 100 % circulaire, même dans les conditions climatiques les plus exigeantes.
Les avancées technologiques, telles que la traçabilité par QR code ou la gestion intelligente des flux de matériaux, accompagnent ce mouvement de fond. Superviser la collecte et la réutilisation permet aux maîtres d’ouvrage de certifier la circularité de leur projet, tout en facilitant les audits environnementaux de plus en plus demandés par les collectivités et les organismes de labellisation.
Leadership et coopération pour innover plus vite
Derbigum ne travaille pas seul. Dès l’amont, les fournisseurs de matières secondaires, les start-ups spécialisées dans le tri intelligent, et les industriels de la collecte s’agrègent à l’écosystème. Cela permet de mutualiser les expériences, de mener des expérimentations à grande échelle et d’ajuster rapidement les procédés pour garantir une évolutivité à la hauteur des besoins. À titre d’exemple, un partenariat pilote avec un centre de tri flamand a permis, en quelques mois, d’augmenter de 30 % la quantité de membranes valorisées, ouvrant la voie à une généralisation rapide du modèle circulaire dans toute la filière.
Toiture éco-responsable : enjeux et bénéfices pour la ville de demain
L’éco-responsabilité ne se limite pas à la fabrication d’un produit recyclable. Adoptée à l’échelle urbaine, la toiture circulaire façonne un nouveau visage de la construction, conciliant développement, nature et exigences sociales. Dans un monde où les ressources fossiles s’amenuisent et où la pression sur l’environnement ne cesse d’augmenter, le choix d’un revêtement innovant tel que Novitumen répond à la demande d’espaces plus sobres, plus vivants, mieux adaptés aux défis climatiques contemporains.
Les villes qui favorisent la pose de ces membranes circulaires observent des bénéfices tangibles : allègement des flux de déchets, mutualisation des chantiers de rénovation, émergence d’emplois liés à la logistique du recyclage. Un partenariat entre la métropole de Bruxelles et Derbigum a permis en 2024 d’équiper plus de 30 000 m² de toitures publiques avec du bitume recyclé, faisant baisser la facture énergétique de plusieurs bâtiments tout en valorisant l’image verte de la ville. Le passage au circulaire devient aussi un argument pour attirer investisseurs et habitants souhaitant s’installer dans un environnement plus sain et innovant.
Favoriser des revêtements issus du recyclage stimule l’innovation urbaine : la toiture devient végétalisable, support de panneaux solaires, ou zone technique réversible. Architectes et urbanistes voient dans cette nouvelle génération de membranes une opportunité d’expérimenter des formes, des couleurs, et même des usages hybrides, adaptés aux modes de vie émergents de 2025. L’exemple de la résidence Arc-en-ciel à Paris, dotée d’une « toiture-terrasse » partiellement circulaire, donne le ton : ici, la membrane Derbigum sert à la fois d’étanchéité et de base pour des jardins partagés, encourageant la biodiversité et le vivre-ensemble.
La performance environnementale, moteur de transformation sociale
La diffusion massive de la toiture circulaire crée de nouvelles synergies au sein des collectivités. Ateliers pédagogiques sur le recyclage, plateformes digitales de suivi de la circularité et concours de créativité autour de la revalorisation sont autant d’exemples concrets où l’innovation devient aussi un moteur de lien social. Les habitants, mais aussi les élèves ou les usagers de bâtiments publics, participent activement à la révolution du roofing éco-responsable en découvrant, en apprenant et en s’engageant pour un environnement urbain renouvelé. L’avenir appartient clairement aux matériaux qui allient respect de la nature et haute performance technique, impulsant au passage une urbanité plus solidaire et désirable.
De la vision à la réalité : Derbigum, pionnier européen du roofing circulaire
Derbigum s’inscrit aujourd’hui dans une dynamique qui dépasse de loin la simple commercialisation de nouveaux produits. La révolution en cours s’appuie sur un engagement total, depuis la conception jusqu’au recyclage post-utilisation, tout en s’entourant de partenaires engagés — industriels, institutionnels, associations de professionnels. Cette mobilisation collective trace la voie vers un secteur de la construction résolument plus vertueux, démontrant qu’il est possible de conjuguer innovation, durabilité et rentabilité sans concession.
L’exemple frappant des chantiers pilotes menés en Belgique et en France montre que l’approche circulaire n’est plus une utopie technicienne, mais bien une réalité concrète. En 2025, de nombreux bailleurs sociaux, entreprises et acteurs publics font désormais de la performance environnementale un critère non négociable. L’essor du Derbitumen illustre la capacité de l’industrie européenne à se réinventer face à l’urgence climatique, tout en stimulant la compétitivité et la créativité de l’ensemble de la filière.
Cette logique inspire déjà d’autres secteurs de la construction, des isolants aux revêtements de façade, en passant par le mobilier urbain. À l’avenir, l’ambition est de rendre chaque bâtiment, chaque toiture, partie prenante d’un gigantesque réseau de matières renouvelables toujours en circulation. Derbigum joue ici un rôle clé, en démontrant que l’alliance de la technologie, du partenariat et du bon sens éco-responsable peut réellement transformer une industrie historiquement linéaire en une filière circulaire et innovante à l’échelle du continent.