Portée par une ascension fulgurante, la pop star Sabrina Carpenter s’offre un nouveau défi d’envergure : incarner et produire une revisitation musicale moderne d’Alice au pays des merveilles. Ce projet de film, chapeauté par Universal Pictures, conjugue univers envoûtant, conte intemporel et musique contemporaine. La jeune artiste de 26 ans, récemment sous le feu des projecteurs lors du Met Gala à New York et nommée à six reprises aux Grammy Awards 2026, s’apprête à illuminer l’écran dans le rôle-titre d’Alice. Cette adaptation inédite, portée par la réalisatrice Lorene Scafaria et le producteur Marc Platt, promet de conjuguer créativité visuelle, profondeur narrative et puissance sonore, pour faire redécouvrir le chef-d’œuvre de Lewis Carroll à une nouvelle génération. Plongée dans les coulisses d’un projet déjà mythique, là où magie, modernité et musique fusionnent.
Le casting événement : Sabrina Carpenter, une Alice qui enchante le cinéma musical
Lorsque Universal Pictures annonce que Sabrina Carpenter sera l’héroïne d’un nouveau film musical librement inspiré d’Alice au pays des merveilles, l’univers du cinéma et de la musique s’enflamme. C’est le choix d’une star en pleine maturité artistique, déjà célébrée pour ses tubes incontournables, ses prestations scéniques explosives et une aisance rare à naviguer entre chant et scénario. Nommée à six reprises aux Grammy Awards pour son album Man’s Best Friend, plusieurs fois disque de platine et cumulant des milliards d’écoutes à travers le monde, elle incarne la pop star de sa génération.
Côté cinéma, Sabrina Carpenter est loin d’être une nouvelle venue. Après avoir conquis le jeune public dans “Le Monde de Riley”, elle s’était illustrée dans des productions variées comme The Hate U Give ou Emergency, manifestant une palette d’émotions précieuse pour le grand écran. Cette notoriété et ce parcours hybride fondent la légitimité de son choix pour interpréter une Alice moderne – imaginative, indépendante et puissante.
Ce rôle titanesque signifie beaucoup pour l’artiste, qui s’implique au-delà du jeu : elle endosse également le statut de productrice, aux côtés du chevronné Marc Platt (La La Land, Wicked). Ce binôme garantit un équilibre entre modernité et respect de l’œuvre de Lewis Carroll. Ce dernier, publié en 1865, avait déjà connu des dizaines d’adaptations, mais jamais sous un prisme aussi résolument musical et contemporain, où l’héroïne détient la triple casquette de chanteuse, actrice et productrice décidée.
Chanter tout en explorant les labyrinthes de ses propres rêves : telle est la promesse de ce film musical qui s’éloigne des sentiers battus. Sabrina Carpenter apporte sa créativité, son charisme, mais aussi son influence internationale. Son implication a déjà attiré l’attention des fans, avides de découvrir ce que réservent ces nouvelles “merveilles”. Certains se questionnent : une relecture aussi moderne saura-t-elle séduire les amoureux du conte originel, tout en touchant une nouvelle génération ? La réponse repose sans doute sur le talent singulier de Sabrina à transcender les genres sans jamais trahir l’essence du récit de Carroll.
En s’entourant de royaumes musicaux et d’univers enchantés, Sabrina se hisse au rang des grandes figures féminines du cinéma, à l’image des héroïnes qui ont marqué la pop culture. Son Alice promet d’être déterminée, sensible et résolument contemporaine, prête à déconstruire les clichés et à écrire sa propre légende à coup de refrains inoubliables. L’attente autour de ce casting événement annonce déjà un phénomène bien au-delà du simple film, à la croisée de la musique, du cinéma et de la mode.
Une revisitation moderne de l’univers magique d’Alice au pays des merveilles
L’annonce d’un nouveau film musical consacré à Alice au pays des merveilles a déclenché l’enthousiasme des adeptes de l’univers magique conçu par Lewis Carroll. Mais qu’est-ce qui distingue cette revisitation, portée par Sabrina Carpenter et la réalisatrice Lorene Scafaria ? La réponse tient autant dans l’actualisation du conte que dans la liberté créative donnée à ses interprètes et créateurs.
Depuis sa publication, l’œuvre a toujours ouvert la porte à des lectures multiples : satire de la société victorienne, fougue de l’enfance, quête identitaire… Au fil des décennies, chaque adaptation y a apporté ses obsessions. En 1951, Disney posait les bases d’une féerie animée iconique ; en 2010, Tim Burton la réenchantait sous des aspects gothiques et extravagants. Mais la version portée par Sabrina Carpenter se veut différente. L’Alice de 2025 navigue dans un décor à la fois familier et réinventé, oscillant entre monde onirique, symboles pop et références actuelles, à l’image des comédies musicales d’aujourd’hui où tout devient support de narration poétique.
L’ambition affichée dès les premières annonces : transcender le conte d’origine sans le trahir. Ici, l’univers magique ne se limite pas à des lapins pressés et des cartes malicieuses ; il devient une métaphore des rêves, des désirs mais aussi des épreuves du passage à l’âge adulte. Par la musique, le récit s’enrichit de nouvelles strates sensorielles, explorant la construction de l’identité de l’héroïne face à des choix complexes. Ce mélange entre décorum féerique et émotions authentiques vise à provoquer l’empathie du spectateur, invité, lui aussi, à traverser le miroir de sa propre existence.
Le script, lequel demeure encore largement secret, s’appuie sur la capacité de Sabrina Carpenter à incarner une Alice à la fois espiègle, fragile et volontaire. Le défi : faire de ce personnage une héroïne de son temps, capable d’influencer le cours de l’aventure mais aussi sa bande-son, mêlant ballades intimistes et hymnes entraînants. Lorene Scafaria, déjà remarquée pour son talent à filmer l’émotion et la comédie, entend injecter dans le film une énergie nouvelle, où chaque séquence musicale devra marquer les esprits aussi sûrement qu’une scène clé du conte.
Ce choix de modernité traverse tous les aspects de la production. Les décors promettent des clins d’œil à l’esthétique contemporaine, des effets spéciaux immersifs et la mise en avant de costumes entre kitch assumé et haute couture. Plus qu’une simple revisitation, il s’agit presque d’une réinvention, où la frontière entre rêve, poésie et réalité se déplace sans cesse. On murmure même que plusieurs chansons originales seront co-écrites par Sabrina Carpenter elle-même, pour renforcer la dimension personnelle de cette aventure.
En bousculant les conventions du classique, le film ambitionne de devenir un nouvel étalon des adaptations, à la croisée du spectacle musical et du fantastique. Cette relecture questionne enfin la place de la jeune femme dans un monde qui lui échappe et dont elle reprend progressivement le contrôle, illustrant le pouvoir de la musique comme moteur d’émancipation et d’affirmation de soi. Les fans des premières heures et les néophytes retrouveront ainsi une Alice résolument enchantée, plus actuelle et inspirante que jamais.
Le défi de l’adaptation : allier conte culte et modernité musicale
Transposer l’univers magique d’Alice au pays des merveilles à l’écran est un pari audacieux, tant l’œuvre de Lewis Carroll est synonyme de folie douce, d’énigmes surréalistes et de poésie visuelle. Cependant, la dimension d’un film musical ajoute une couche supplémentaire d’inventivité et de complexité. Marc Platt, producteur aguerri à qui l’on doit des triomphes comme Wicked et La La Land, a toujours misé sur l’intemporel remise au goût du jour, misant sur la synergie des talents réunis autour du projet.
Dans cette version revisitée, chaque scène est pensée comme un tableau onirique, où dialogues et chansons s’entremêlent pour créer une progression émotionnelle unique. La difficulté consiste à coller à l’esprit subversif et désorientant du roman tout en offrant au public une expérience musicale accessible et moderne. Les refrains sont conçus comme des épisodes de vie, permettant aux personnages secondaires (le Chapelier fou, la Reine rouge ou le Lapin blanc) de révéler leurs facettes grâce à la musique. On peut s’attendre à des numéros visuellement époustouflants, à mi-chemin entre comédie musicale de Broadway et clip pop au rythme effréné.
La production veille à préserver la magie originelle tout en injectant de nouveaux thèmes chers à la jeune génération : l’émancipation, la confiance en soi, la place de la femme dans le monde moderne, la capacité à sublimer l’adversité par l’art. La relecture des scènes cultes – comme le Tea Party du Chapelier fou ou le procès absurde de la Reine rouge – offre une occasion rêvée de créer des performances musicales mémorables, qui dépasseront le simple hommage pour devenir des manifestes pop.
L’implication de Sabrina Carpenter dans l’écriture et la production musicale assure une cohérence singulière au projet. Aux côtés de compositeurs et chorégraphes reconnus, elle façonne une bande originale à son image : novatrice, vibrante d’émotions et puissante sur scène comme en studio. Le pari consiste aussi à mêler des influences multiples, du jazz endiablé à l’électro rêveuse, rappelant le kaléidoscope sonore qui caractérise aujourd’hui la musique la plus innovante.
Ce défi d’adaptation ne va pas sans une pression certaine, héritée de l’histoire du conte et des attentes autour d’une icône pop. Mais l’équipe ambitionne de transformer ces contraintes en leviers de créativité, permettant à l’œuvre, cent-soixante ans après sa première publication, de se réinventer à l’aune des rêves et des bouleversements du XXIe siècle. Au final, c’est la magie de la fusion entre spectacle vivant, cinéma et prodiges visuels, qui pourrait bien installer ce film musical au panthéon des grandes réussites culturelles de la décennie.
Des coulisses à la scène : ambiance de tournage et innovations visuelles
Derrière la magie évidente de ce nouveau film musical centré sur le monde merveilleux d’Alice, se cache un travail de fourmis orchestré par des équipes passionnées. Dès les premières réunions, la réalisatrice Lorene Scafaria a favorisé une ambiance de collaboration et d’expérimentation : chaque acteur, musicien, danseur et technicien est invité à proposer ses idées pour remplir l’univers magique de nuances et d’inattendus. Sabrina Carpenter, en leader charismatique du projet, souhaite que ce film soit empreint de bienveillance et de liberté créative, à l’image de son propre parcours d’artiste autodidacte et audacieuse.
Le choix des décors, en particulier, fait réfléchir à la façon de marier les incontournables du pays des merveilles – le jardin géant, les couloirs labyrinthiques ou la salle du trône de la Reine rouge – avec des éléments contemporains inspirés de la scène pop et des tendances artistiques de 2025. Ainsi, les scènes musicales incorporent des innovations visuelles proches du mapping vidéo, multipliant miroirs déformants et illusions d’optique, afin de plonger spectateurs et interprètes dans une expérience immersive.
L’équipe de production mise également sur des effets spéciaux en temps réel, pour renforcer la féerie propre au conte tout en conservant la spontanéité du jeu d’acteur. Les costumes, conçus par des créateurs à la croisée de la mode et du théâtre, donnent vie à toute une galerie de personnages hauts en couleur, tout en servant la narration. Par exemple, chaque robe d’Alice évolue au fil de l’histoire pour matérialiser ses états d’âme ou ses prises de conscience, illustrant la transformation intérieure de l’héroïne par des motifs et des matières changeants.
L’ambiance sur les plateaux n’est pas en reste : entre les sessions de répétitions musicales et les pauses improvisées où Sabrina Carpenter échange des astuces de chant avec les autres membres du casting, on sent une énergie collective et stimulante. En témoignent les vidéos coulisses partagées sur les réseaux sociaux, où l’on aperçoit la complicité entre artistes et la volonté constante de repousser les limites, à la manière des grandes productions musicales américaines. Les fans suivent de près la moindre rumeur, décryptent les tenues, repèrent chaque clin d’œil à l’œuvre originelle, créant une ébullition digitale propice au succès du film.
Cette fusion entre exigence technique et atmosphère décontractée crée une alchimie singulière, où la musique sert de fil rouge et d’inspiration pour toutes les décisions créatives. Le pari de l’équipe consiste alors à faire ressentir cette effervescence et cette générosité à l’écran, pour que chaque spectateur ait le sentiment d’embrasser, lui aussi, les merveilles d’un pays à la frontière du rêve et de la modernité.
L’impact culturel attendu : entre carton musical, pop culture et héritage littéraire
Au-delà de ses ambitions artistiques et de ses innovations visuelles, le nouveau film musical enchanté autour d’Alice au pays des merveilles nourrit de grandes espérances quant à son impact sur la scène culturelle et populaire. D’abord, il promet de renouveler l’intérêt pour l’œuvre de Lewis Carroll, en l’offrant dans un écrin contemporain, accessible aux jeunes générations sans délaisser les amoureux du conte originel. L’effet Sabrina Carpenter, déjà très présent dans la sphère pop, est un formidable accélérateur de curiosité autour de ce projet : ses fans, aussi nombreux qu’engagés, s’impatientent de découvrir comment leur idole saura conjuguer interprétation dramatique et énergie scénique.
L’un des enjeux sera de faire émerger une véritable bande son, capable de s’imposer sur les plateformes streaming, les radios et les réseaux sociaux. Les comédies musicales marquantes de la décennie précédente ont prouvé que le succès d’un film peut rejaillir bien au-delà de la salle obscure, transformant chaque chanson en hymne générationnel. La présence de Sabrina Carpenter, déjà reconnue pour ses hits et ses collaborations prestigieuses, laisse augurer des performances capables de captiver même les publics néophytes.
La dimension féministe du film est aussi très attendue. En confiant à une jeune femme talentueuse la direction artistique et l’interprétation d’Alice, ce projet s’aligne avec l’évolution du regard porté sur le féminin dans la culture populaire, tout en valorisant l’autonomie de ses actrices-productrices. Cet engagement contemporain devrait résonner auprès de spectatrices et spectateurs en quête d’identification, ravivant l’esprit subversif du texte originel. La revisitation musicale crée, enfin, une passerelle entre l’héritage littéraire et la culture pop, contribuant à faire d’Alice au pays des merveilles une œuvre à la vitalité éternelle.
Le film promet également d’alimenter la conversation sur la réinvention des classiques à l’ère du numérique et de la diversité artistique. On peut déjà imaginer TikTok, Instagram et YouTube fourmiller de reprises, de défis dansés ou de remix inspirés, à l’image du phénomène Hamilton ou des grandes franchises musicales. L’univers magique imaginé par Carroll se prête particulièrement à ces déclinaisons créatives, où chaque personnage inspire des réinterprétations, des costumes et des performances inédites.
En renouant avec la musique, les couleurs, les symboles du merveilleux et la force du conte, ce nouveau film musical pourrait bien ouvrir une nouvelle ère, celle où les frontières entre cinéma, scène et réseau social s’effacent au profit de l’émotion partagée. Quel plus bel hommage aux merveilles d’Alice, revisitées par une héroïne résolument ancrée dans son temps ?